MICHEL Alexandre - Lycée Pierre Corneille de Rouen

MICHEL Alexandre

, par Frédéric Vivien


MICHEL Alexandre


Terminale S, spé Physiques, à Gustave Flaubert, Rouen
prépa PCSI puis PC* à CORNEILLE


CentraleSupélec (cursus Centrale Paris) en 2017




Spécialités et Points forts de l’Ecole
CentraleSupélec est une école d’ingénieure réputée auprès des entreprises et généraliste : les ingénieurs qui en sortent ont une base de connaissances techniques solide et sont aptes à diriger des équipes. Cette polyvalence est le principal point fort du centralien.
L’école développe de grands efforts pour se développer au niveau international, de nombreux doubles diplômes sont possibles à l’étranger (Stanford, LSE...).
La vie associative est très développée, et les élèves sont encouragés à s’y engager. Elle constitue une part importante de la vie d’un centralien, permet d’apprendre à travailler en équipe et d’assurer une cohésion entre les étudiants.

La formation en classe préparatoire et les souvenirs du lycée Corneille
J’ai décidé d’entrer en prépa pour me donner une chance d’accéder à des écoles prestigieuses et pour connaître mes propres limites en terme de travail.
Habitant près Rouen, j’ai préféré aller en prépa au Lycée Corneille pour une question de proximité, et j’ai choisi la filière PCSI car je préférais la physique aux maths.
En terminale, mon prof principal m’avait déconseillé d’aller dans une grande prépa parisienne car les enseignants étaient tout aussi bons à Corneille, et que la différence de résultats aux concours était due au fait que les grandes prépas parisiennes sélectionnent déjà les meilleurs élèves dès la 1ère année.
J’ai pu effectivement constater cela par moi-même par la suite, je suis donc convaincu d’avoir fait le bon choix.
Contrairement à ce qu’on peut parfois entendre sur les prépas, il y avait beaucoup de solidarité entre les élèves, et j’ai rencontré des personnes qui sont maintenant des amis proches.
Je conseille à ceux qui veulent potentiellement rentrer en classe prépa de ne pas se censurer en terme d’ambition : les notes du lycée et du bac ne veulent plus dire grand chose quand on arrive en CPGE. Je leur conseille aussi de prendre le temps de trouver leur méthode de travail, car il n’en existe pas qui soit universelle.




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