Derniers articles

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  Anciens de Corneille

  Chers parents, anciens élèves et élèves actuels du lycée, nous sommes en train de compléter et d’enrichir nos listes de classes depuis 1803. Si vous avez vous-même été au lycée, si vous connaissez des personnes qui ont suivi leur scolarité au lycée (parents, famille, amis, voisins), pourriez-vous nous transmettre la scolarité de chacun d’entre eux (années de présence au lycée, classes suivies, filière et numéro de classe, noms d’éventuels camarades, photographies de classes). Seul un travail collaboratif nous permettra d’être le plus exhaustif possible. Envoyez vos documents à fabrice.sajous@ac-normandie.fr Merci à vous tous pour votre aide !!
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  Représentations au Collège des Jésuites de Rouen entre 1593 et 1762

  Représentations au Collège des Jésuites de Rouen devenu Lycée Pierre Corneille entre 1593 et 1762 (dates de l’ouverture du collège et de la dissolution de la Compagnie). A l’occasion du carnaval et des distributions de prix au Collège des Jésuites de Rouen, les représentations théâtrales étaient un véritable événement dans la ville. La cour d’honneur du Collège servait de salle de spectacle, la scène était dressée contre l’aile nord des bâtiments. Une mise en scène brillante, des guirlandes rehaussaient le spectacle. Le programme, distribué à l’auditoire était lui-même une œuvre d’art. L’un d’eux est conservé à la bibliothèque municipale de Rouen, est orné de gravures d’Abraham Bosse. De texte assez long, le programme énumérait les personnages, expliquait les pièces latines que beaucoup ne comprenaient pas, dévoilait les sens allégorique du ballet, qui, depuis le XVIIe siècle, (...)
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  Les fresques du lycée

  Paul Baudoüin (24.10.1844 - 24.12.1931) fut l’artiste officiel de la capitale normande à partir de la fin du XIXe siècle. On lui commanda des décorations murales d’envergure dans les grands et majestueux lieux publics. On lui doit les fresques qui ornent l’escalier de la biliothèque municipale, la salle du conseil municipal à l’Hôtel de Ville ou encore la façade de la Bourse du travail. Paul Baudoüin donnera des cours à l’Académie des Beaux-Arts de Rouen avant de rejoindre celle de Paris. Le musée des Beaux-Arts de Rouen possède quelques oeuvres de cet artiste (esquisses et dessins préparatoires conçus avant de s’attaquer à ses décors de murs ou de plafonds). Illustration du journal Liberté Dimanche du 5.10.1986. En 1900, Paul Baudoüin exécuta plusieurs fresque au lycée lors du 3ème centenaire de la mort de Corneille, l’une en décorant le dôme de l’entrée de Joyeuse, appelée (...)
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  Quel avenir pour le fonds ancien du lycée ?

  Un état du fonds ancien et un fichier recensant les ouvrages jusqu'alors répertoriés.
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  Les Horloges du Lycée

  On peut lire autour de l’horloge depuis la cour d’honneur du lycée : Hic labor, hic requies Musarum pendet ab horis. « Ici le travail, ici le repos des Muses est sous la dépendance des Heures. » C’était une façon ingénieuse de dire que l’horloge réglait l’emploi du temps au Collège ; mais quelle autre destination pouvait-elle donc avoir ? Outre les heures, l’horloge, cinq minutes avant l’heure, sonnait un petit coup, dont l’importance était grande pour les classes. Avant l’heure réglementaire de l’entrée en classe, il faisait ouvrir la grande porte et la grille aux externes. Le petit coup qui la suivait leur en faisait interdire impitoyablement l’entrée, et il fallait recourir au censeur pour qu’un élève ou une pension en retard ne fussent pas obligés de retourner au logis. Celui qui précédait l’heure de la sortie donnait le signal de la distribution des cahiers de (...)
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  Pour le souvenir d’un ancien élève du lycée Pierre Corneille de Rouen

  Pour le souvenir d’un ancien élève du lycée Pierre Corneille de Rouen Elève de la section norvégienne Héros de la Seconde Guerre Mondiale Nils Jørgen Fuglesang, originaire de Florø, était élève au lycée Pierre Corneille, comme trois autres élèves norvégiens en 1935. En 1936, il faisait partie du Tableau d’Honneur de la section avec, de plus, un accessit en composition française et en littérature norvégienne. Nils Fuglesang avait 22 ans quand la guerre éclata dans son pays natal en 1940. Au début de la guerre il fuit aux Iles Shetland dans un bateau parti de Kvammen en Norvège, et il suivit une formation pour devenir aviateur de combat. Le 2 mai 1943 son avion Spitfire fut abattu en survolant les Pays-Bas, et Nils Fuglesang fut capturé. Avec d’autres pilotes alliés, ils furent emmenés au Stalag Luft III, camp sous haute surveillance situé près de la ville de Sagan, en (...)
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